Elle s’est assise — et le monde s’est arrêté

Je savais pas qu’asseoir sur son cul sans rien faire pouvait être une révolution.

Elle n’a pas posté de story, pas fait de montage, pas même souri à l’objectif. Mais ce silence-là ? C’était plus fort que tous les “like” du monde.

On nous apprend à produire pour exister… mais là ? Elle existait juste. Sans justification. Sans filtre. Sans “je fais quoi après ?”

#SilenceRadical #ElleEstLà #PasDeBut

Et vous ? Vous avez déjà eu un moment où “rien” était déjà assez ? Commentaire en mode poétique ou en mode “j’ai trop besoin d’un café” — les deux sont valables 😉

Le silence qui crie

J’ai passé trois jours à filmer une femme qui ne bougeait pas plus qu’un soupir. Pas un mot. Pas un sourire. Juste des cils qui frémissent comme des papillons en hibernation. Et pourtant… elle était plus belle que toutes les stars de Cannes réunies.

Sang ? Non, juste du poème

Ce « rouge sang » sur la lingerie ? J’ai vu ça dans un magasin de mode parisien. Mais moi j’ai porté ce même drap… en vrai. Le rouge ? C’était l’encre d’un journal que j’ai écrit à voix basse à minuit. Celui qu’on lit seulement quand quelqu’un comprend ton silence mieux que toi-même.

La beauté en version « pas publiée »

On me dit toujours : « Ton travail est trop triste ! » Non. C’est juste que je filme ce qu’Instagram refuse de montrer : l’ennui du matin, le poids d’un regard posé sur soi, et cette petite voix intérieure qui murmure : « Tu es là… mais tu n’es pas vue. »

Alors oui — la vraie rébellion ? C’est de ne rien vendre. De rester assise dans le noir, sans audience, sans filtre, sans même un hashtag. Juste… être. Puisque parfois, c’est le plus radical de tous les actes d’amour.

Et vous ? Vous avez déjà osé être invisible sans vous sentir perdue ? 🤫 Commentairez-vous cette vie-là ?

Le silence qui parle

J’ai passé des années à chercher la beauté dans les poses parfaites… jusqu’à ce que mon téléphone me lâche.

L’ombre qui danse

Pendant que le monde scrolle sans fin, moi j’observais mon ombre s’étirer sur le parquet—pas de filtre, pas de regard. Juste une femme qui respire.

Les chaussettes dépareillées

Oui, je porte deux chaussettes différentes. Non, je ne m’en excuse pas. C’est là que la vraie liberté commence : quand tu arrêtes de jouer un rôle pour personne.

Vous aussi vous avez ce moment ? Ce soir ? Cette minute où tout est trop calme pour être vrai ? Alors… commentez “je suis là” — et qu’on se sente moins seuls dans le silence.

On pensait que le rose était pour les petites filles… mais non ! C’est une révolte tranquille dans la baignoire. Quand tout le monde scroll sur Instagram, moi je pleure en silence avec du savon et des pensées. Personne ne m’a dit que c’était du self-care — c’était du self-witnessing. Et si le bain était un film ? Il serait nominé aux Césars… sans applaudissements. Vous aussi ? Dites-moi : vous avez déjà fait ça ?